top of page

Oasis is good!

Chaque être humain naît avec les mêmes besoins inhérents. Tout d’abord physiologiques tels que la respiration, la faim. S’ensuivent la sécurité, l’appartenance, l’amour, l’estime, et enfin l’accomplissement de soi. Notre monde évolue, et pourtant nos besoins restent similaires, de génération en génération. Avec des amis, ça fait quelques années qu’on se demande sérieusement comment continuer cette quête de l’épanouissement personnel dans un environnement économique, social et écologique devenant de plus en plus hostile et instable. Comment faire en sorte de vivre heureux et de donner du bonheur, tout en adaptant nos modes de vie de façon à laisser la meilleure empreinte possible sur la planète Terre. Nous est alors venue l’idée de construire notre oasis.

 

“OASIS is good !”

Ou comment associer un slogan publicitaire à un mode de vie qui prône la sobriété et la décroissance.

Allez, je vous raconte tout ça.

 

Tout est parti d’intenses discussions entre nous - environ 25-30 personnes - sur les gilets jaunes, le dérèglement climatique, la place du nucléaire dans le mix énergétique, la collapsologie, et j’en passe. On se rend bien compte que tout part en vrille. Et on se demande, comment nous, à notre échelle, nous pouvons agir. Alors on se lance dans le zéro déchet, dans le compost, dans les voyages à vélo, dans l’alimentation raisonnée et bio. Mais on le sait. On aura beau faire tous les efforts du monde, ça ne nous sauvera pas de la chute vers laquelle l’humanité presse le pas. Alors du coup, qu’est-ce qu’on fait ? On se renseigne. On lit beaucoup, on en discute. Et puis, on se rend petit à petit compte que malgré ce brouillard de mauvaises nouvelles, quelques petits rayons de soleil font leur apparition. Oui, les points positifs dans tout ça, c’est qu’on peut tendre vers un mode de vie plus sain, plus proche de nos fameux besoins, et plus à l’écoute des uns et des autres. On peut repenser notre manière de vivre, de A à Z, tout en augmentant notre courbe du bonheur.

 

So, what’s the plan, comme disent les english ?

On construit le monde dans lequel on souhaite évoluer, et ça de manière locale et durable. De notre côté, on a très simplement commencé par un document collaboratif, dans lequel on a défini différentes catégories assez basiques : “Où ?”, “Quand ?”, “Avec quelle énergie ?”, “Comment on mange ?”, etc, vous avez compris le topo. De par nos échanges, ces catégories sont petit à petit déclinées, affinées, détaillées, afin de rentrer dans le vif du sujet et dans le concret. Pour ce qui est du logement, personnellement quand j’imagine ma future maison, je vois quelque chose de très confortable, très lumineux, et surtout assez petit pour principalement vivre dans l’environnement naturel l’entourant. Prochaine étape, tester une Tiny House sur quelques jours ! Et vous, quand est-ce que vous sautez le pas ?

 

 

PS : Pour les timides qui se demandent ce que peut bien être une Oasis, la réponse est ici.

​

​

​

Sarah, 25 ans,

impatiente de construire ce petit paradis

Logo du Ty Village à Saint-Brieuc
bottom of page